" J'aurais voulu te dire... "

Je TE réponds donc que je TE répondrai moins à l'avenir, histoire que ça ne TE perturbe pas trop   

 Je suis encore plus perturbée maintenant.   

Il faudrait peut-être utiliser des guillemets quand on participe au topic. Ça permettrait de faire la différence entre le HS et le non-HS. Ou alors commencer les phrases de non-HS par "j'aurais voulu te dire".

Oui Hokkaido a sans doute raison. Pour plus de clarté, on peut mettre des guillemets ou autre.

"Tu me manques beaucoup, c'est pas facile de faire sans toi, j'aurais aimé te parler, entendre ta voix, sentir la bienveillance qui anime une mère envers ses enfants, sentir que tu sois toujours la et que je sache que quoi qui l'arrive, tu serais la. J'aimerais que les souvenirs ne se dissipent pas, me rappeler des moments heureux.
J’espère que tu as trouvé la paix, tu l'as mérité, et tu nous manques à tous. Il est rare que je n'ai pas une pensée pour toi. Je sais que ce que j'ai perdu était très précieux"

Troll a écrit:

"Tu me manques beaucoup, c'est pas facile de faire sans toi, j'aurais aimé te parler, entendre ta voix, sentir la bienveillance qui anime une mère envers ses enfants, sentir que tu sois toujours la et que je sache que quoi qui l'arrive, tu serais la. J'aimerais que les souvenirs ne se dissipent pas, me rappeler des moments heureux.
J’espère que tu as trouvé la paix, tu l'as mérité, et tu nous manques à tous. Il est rare que je n'ai pas une pensée pour toi. Je sais que ce que j'ai perdu était très précieux"

 

Courage mon Troll.  

"Abruti, arrête de mater les filles dans la rue et chez Leclerc, tu n'as jamais été aimé, tu ne le seras jamais, tu ne le mérites pas de toute façon."

" Pourquoi, cette fois ci ? "

"Je me demande ce que cette fille avait de si incroyable pour que tu aies besoin d’être interné...   "

Jag a écrit:

"Je me demande ce que cette fille avait de si incroyable pour que tu aies besoin d’être interné...   "

Sans rien savoir, j'ai envie de dire que lui seul peut y comprendre quelque chose. Et que cet internement est peut-être l'occasion et le seul moyen pour lui de le faire (posément, coupé du monde) et de tourner définitivement cette page.

Ah oui non mais clairement ca lui a fait du bien, enfin bon plus d'un an dans un asile à cause d'une fille, c'est assez fou quoi.   

C'est assez fou mais compréhensible, à moindre échelle j'ai passé une semaine à l'hosto mais si j'aurais pu y passer beaucoup plus de temps, je l'aurais fait, ça te permet de te reconstruire.. je dirais même que ça t'y force

"Tu crois qu'on sera capable d'avoir une vraie conversation avant ta mort? Genre plus de 2min sans utiliser un mot du vocabulaire de l'argent?
Ou tout ce qu'il me restera de toi sera un héritage? Cela dit je ne devrais pas m'en plaindre, en cela j'ai plus de chance que d'autres, je ne connaîtrais jamais la précarité et je n'aurais pas besoin de trimer autant que d'autres.
Mais bon, l'etre humain veut toujours ce qu'il n'a pas..."

Qu'est ce que tu deviens ?

Qu'est ce que tu lui trouves sérieux pour supporter ses crises?   

" Y'a vraiment des fois où je me demande à quoi ça rime tout ça... "

"Pourquoi je peux même pas vous dire que vous me manquez en continu ?"

"Ca fait des mois et c'est seulement maintenant que je me rends compte que tout va mal. Y'a plus un soir où je me couche sans avoir la gorge nouée ni un matin où je me lève sans avoir l'envie de chialer. C'est une vie ça ? Tu vois ce que tu as fait de moi ? J'ai l'impression d'être un zombie, j'ai plus le goût de rien à cause de toi. Et ce qui me tue le plus, c'est que tu t'en semble t'en foutre. Que tu fais les choses en sachant très bien quelles conséquences elles auront sur nous mais tu les fais quand même. Est-ce que tu nous aimes, un peu au moins ? Est-ce qu'on compte ? J'ai été trop conne jusqu'aujourd'hui. J'ai envie de tout casser, d'insulter le monde entier, de frapper, de crier. J'ai envie de pleurer, j'y arrive même pas. Je garde tout à l'intérieur de moi, j'veux que ça sorte mais je sais pas comment faire, je m'efforce mais j'suis pas forte pour ça. J'ai envie de t'étrangler à chaque fois que je te vois. En fait, je peux même plus te regarder sans que la rage monte et que ma haine me pousse à des pensées affreuses. Il faut que tu sois loin, très loin parce qu'à l'heure actuelle, là maintenant, je n'ai qu'une envie : c'est te perdre pour toujours. Plus jamais te revoir. Que tu emmène les problèmes avec toi et que tu ne reviennes jamais."

"Je n'arrive pas à vous aimer, c'est triste mais c'est comme ça."

"Tu te crois malin mais tu ne vaux pas grand chose. C'est facile pour toi de te moquer d'un enfant de 5 ans."

Des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages et des pages... mais à quoi bon quand on parle à un mur ? Un mur qui nous est tombé sur la face en plus ?

Si vous aviez une petite clochette suspendue à votre oreille qui se mettrait à tinter à chaque fois que je pense à vous, alors elle se ferait très souvent entendre.

J'ai pensé à toi hier. Je ne me souviens même plus de ta date d'anniversaire. Je me souviens par contre du moment où on nous a annoncé la nouvelle. Je n'y ai pas cru, je n'ai pas réalisé que tu l'avais fait, je n'ai pas réalisé que tu n'étais plus là. C'est à partir de ce jour là que j'ai commencé à mentir quand on me demandais si ça allait. Je le faisais déjà avant, mais pas aussi systématiquement. Je m'en suis voulu, et je m'en veux toujours aujourd'hui, je suis responsable. Peut être pas le seul, peut être que je n'ai rien fait volontairement, mais je n'ai rien fait pour t'aider.

Alors que pourtant, tu n'étais pas seul. Ta famille était là, j'étais là. Peut-être qu'on ne te le disait pas assez. Je ne te le disais pas assez. Je ne te l'ai d'ailleurs pas dis. Parce que j'étais jeune, et parce que ce genre de choses ne se disent pas facilement, et encore moins quand on a pas l'impression que la personne en face a besoin de nous.
Mais c'est bien ça le problème. Personne ne l'a vu venir. Ca a choqué tout le monde. Ta soeur, elle aussi, se sent responsable. Et je suis à des kilomètres de ce qu'elle peut ressentir, je n'étais que ton meilleur ami. En tous cas, tu étais mon meilleur ami.

Et je ne comprends toujours pas pourquoi, ni comment. Comment peut tu être entouré de personnes qui ont tant de considération pour toi et faire ça ? Comment ? Presque tous les jours, je pense à faire la même chose, et je sais que je ne le ferais jamais, bien que je n'ai personne autour de moi.

Je ne sais pas, personne ne sait. Ce qui est sur c'est que tu n'es plus là. Je ne vais pas te mentir : j'ai essayé de t'oublier, parce que ça m'aurait fait trop mal de me concentrer sur toi. Mais ce n'est pas parce que j'ai oublié suffisamment pour ne pas souffrir que je t'ai oublié entièrement.

Qu'aurais-tu été aujourd'hui ? Où en serais-tu ? Tu avais du potentiel, en tant que personne mais aussi en tant qu'acteur de la société : non seulement tu étais bon, mais tu étais intelligent et intéressé. Tu resteras toujours dans mon esprit comme ce garçon avec qui je me marrais, avec lequel on avait ce genre de compréhension mutuelle, sans pour autant s'être dit des choses très profondes, on se ressemblait.

" Je regrette de t'avoir dit certaines choses, et surtout de ne pas t'en avoir dit d'autres.
Tu me manques. "

"Pourquoi vous sortez avec des loosers pareils? Vous pensez vraiment ne pas mériter mieux?? Ca me tue."

" J'ai l'impression de faire une connerie. "

Va te faire sodomiser et arrête de voler mes colis     

"Va chier avec tes cosinus, tes sinus et tes tangentes de merde! Sale raclure de prof à la con!"

Vous devriez mettre de guillemets, histoire qu'on le prenne pas personnellement.  

Wild Weasel a écrit:

Vous devriez mettre de guillemets, histoire qu'on le prenne pas personnellement.  

C'est donc toi qui vole mes colis?