Vos pensées du moment ...

Oh Miette est de Strasbourg??

Elle m'avait bien foutu un vent d'ailleurs
Mais je comprends, elle a pris la bonne décision.

Jag a écrit:

Oh Miette est de Strasbourg??

 oui à cette époque je croisais que des gens de Choucroute Land  et ses alentours , j'ai dû en croiser 5  , mais je pense  que la confrérie de la choucroute avait des plans contre moi parce que 5  personnes quand même ça ne peut être un hasard  ,  j'ai des doutes sur Ask aussi , je pense que c'est un agent dormant de la confrérie des choucroutes

Asczdv a écrit:

Elle m'avait bien foutu un vent d'ailleurs
Mais je comprends, elle a pris la bonne décision.

  A moi aussi elle m'a mis un vent , j'ai plus eu de nouvelle après ,  je voulais assister a la rencontre de deux choucroutes   , tant pis

Elle est gentille Miette; on s'est pas beaucoup parlé mais elle est cool

Miette c'est en référence au bouquin de Loana?

Miette c'est TEM ?
si on parle de la même ça fait un bail qu'elle est sur docti non ?


faudrait que je zieute dans mon contrat de combien il est mon préavis.
d'un côté je me demande ce que je serais sans ce taf et cette routine. 
et d'un autre j'aimerais bien tout larguer, attaquer une nouvelle page.
le truc c'est que tant que t'es occupé tu te rends pas compte de tout tes vieux démons en embuscade que t'as presque fini par oublier.
sauf qu'à la première période d'oisiveté tu vois qu'eux ils t'ont pas oublié.
juste un we ça suffit à s'en rendre compte.
puis t'façon j'ai zéro projet.
je me prendrais bien une période coupure à durée indéterminée mais je suis quasi sûr que ça me réussirai pas.

Rad a écrit:

Miette c'est TEM ?
si on parle de la même ça fait un bail qu'elle est sur docti non ?

Je crois bien que c'est la même, ça fait un bail, oui, mais je ne lui ai jamais parlé ^^

Rad a écrit:

faudrait que je zieute dans mon contrat de combien il est mon préavis.
d'un côté je me demande ce que je serais sans ce taf et cette routine. 
et d'un autre j'aimerais bien tout larguer, attaquer une nouvelle page.
le truc c'est que tant que t'es occupé tu te rends pas compte de tout tes vieux démons en embuscade que t'as presque fini par oublier.
sauf qu'à la première période d'oisiveté tu vois qu'eux ils t'ont pas oublié.
juste un we ça suffit à s'en rendre compte.
puis t'façon j'ai zéro projet.
je me prendrais bien une période coupure à durée indéterminée mais je suis quasi sûr que ça me réussirai pas.

Pendant un bon moment, j'étais comme toi ... 0 projet, et une routine qui a fini par me peser au plus haut point. Le soir, les week-ends, les "démons" qui revenaient avec la fatigue et l'impossibilité de faire quelque chose de productif : parfois, même regarder un film ne me disait trop rien ... sauf parfois pendant certaines vacances (au moins 10 jours d'affilée) où j'arrivais exceptionnellement à me mettre à lire par exemple. Puis, pendant un moment, j'ai travaillé trois jours sur cinq (peut-être une idée pour toi ?). Ca m'a permis de construire et de me conforter dans mon projet (vague au départ, il s'est précisé), de me réconcilier un peu avec mes démons (chose que je n'avais pas non plus le temps/l'énergie de faire quand je travaillais !), de revivre un peu tout en gardant un rythme assez cool. Aujourd'hui, le fait de devoir être dans l'action sous peine d'échouer à réaliser ce que je voudrais faire me motive vraiment. Certaines difficultés sont toujours là, mais j'y pense moins : c'est remplacé par quelque chose de sain, que j'aime depuis longtemps, et sur lequel mon avenir pourra se baser.
Voilà, comme, à te lire (et ce n'est pas la première fois), j'ai l'impression d'être un peu passé par là, c'était mon témoignage, si ça peut t'inspirer, j'espère Après, c'est sûr que chacun est différent, mais je suis sûr que tu peux arriver à quelque chose d'une manière ou d'une autre.

merci pour le retour d'expérience et la petite touche d'optimisme
C'est plus d'actualité ton 3j/5 si ? et pas retourné dans la même espèce de routine du coup ?

De rien, je sais que c'est pas facile alors si ça t'aide un peu c'est déjà beaucoup. 
Non je "ne travaille plus", je suis redevenu étudiant (j'apprends des choses qui m'intéressent) , et j'ai déménagé...  (j'en parle un peu plus dans la RMA)
Ce n'est pas toujours facile non plus, mais la différence, c'est qu'on est maître à bord (même si on essuie toujours des tempêtes, et la barre peut aussi se bloquer temporairement contre notre volonté, et il en faut) alors qu'avec la routine, on reste prisonnier des courants, sur un radeau, sans moyen de donner la direction qui nous plairait ... Et ça peut devenir trèeeees pesant à la longue. Après je crois que beaucoup de personnes s'en accomodent parce qu'ils ont d'autres motifs de satisfaction dans leurs vies, et/ou qu'ils considèrent que ça leur apporte un salaire suffisant pour avoir des activités plus passionnantes par ailleurs. Moi ça ne me suffisait plus, et ça bouffait la plupart de mon énergie, d'où ce grand changement.

pareil, 'fin le vrai problème c'est que j'ai rien en dehors du taf donc dans l'idéal faudrait qu'il soit prenant/passionnant ou stimulant.
là il est juste prenant dans le sens amplitudes débiles et fatigant.
et le salaire c'est pas ça qui contrebalance, au pire je basculerai sur un taf alimentaire je perdrais pas au change et au moins j'aurais un peu + temps dispo.

J'ai envie de me poser à l'étranger un ou 2 ans, je sais que d'un point de vue financier et d'âge, le meilleur moment pour le faire, c'est maintenant.
Et en fait je ne peux m’empêcher à penser à tout ce que je perds en partant. Je n'ai jamais été aussi stable que ces derniers mois, ma dernière grosse déprime remonte à l'été dernier. J'ai évolué sur pas mal d'aspects, je continue de le faire chaque jour et mes relations s'approfondissent. J'en ai perdu, j'en perdrai toujours car c'est inévitable et bien que ce soit toujours un déchirement, je n'en suis que plus reconnaissante envers ceux qui restent. Je suis entourée par des gens bienveillants et qui m'enrichissent chaque jour un peu plus, je me sens véritablement épanouie socialement mais le fait de ne pas avoir toujours connu cette situation me bloque d'autant plus pour partir.
Parce que j'ai mis des années à construire tout ça. Parce que j'en ai *désapointé* et que j'ai peur de me retrouver toute seule comme une conne à l'autre bout de la planète avec uniquement des relations superficielles pendant que mes amis évolueront et m'oublieront. 
Trouver des gens qui partagent nos valeurs et avec qui l'on peut se sentir véritablement bien n'est pas chose aisée, je n'ai pas envie de prendre le risque de sacrifier ces moments avec eux mais d'un autre coté je sais bien que je pourrais aussi vivre des expériences incroyables ailleurs, la difficulté c'est de se lancer, prendre le risque.
Mais si je ne le fais pas maintenant, si je repousse et qu'au final je ne le fais pas, je sais que je le regretterai à un moment. 
J'ai encore une marge mais le temps défile tellement vite...

Et à mon âge c'est l'âge ou pas ? Sachant que l'année prochaine je devrai sans doute le faire pour trouver un stage puis un job dans mon nouveau domaine. L'année dernière ça me faisait peur, mais maintenant je me dis que j'ai tout à gagner ^^ Ya pas d'âge je crois tant qu'on se sent assez libre (à différents points de vue) pour le faire. Tu peux repousser encore un peu si tu ne te sens pas prête.
En un an ou deux, je pense pas que les gens t'oublieront, c'est court ! En tout cas, tu pourras être sûre qu'il restera "les meilleurs" parmi ceux qui ne t'auront pas oubliés, et ta reconnaissance envers ceux qui restent (et qui seront sûrement les mêmes) n'en sera que décuplée ^^
Pourquoi ne ferais-tu que des rencontres "superficielles" à l'étranger ? Parce que ça a été le cas en Asie ? C'est pas dit que ça se reproduise forcément ailleurs (voire au même endroit, les joies du hasard) et tu voudras rester là-bas.

Parce qu'il me faut du temps pour vraiment connaitre quelqu'un  Il faut un contexte pour la rencontre, ce que le voyage permet c'est de rencontrer des gens très différents et c'est très enrichissant sur le court terme mais fatigant pour quelqu'un comme moi sur le long terme si cela ne se limite qu'à ce type de relations. 
En étant posé à un endroit et en s'installant c'est différent qu'un voyage en road trip, on a le temps de connaitre les gens mais vient le moment ou il faut les quitter, si l'on s'y est attaché, c'est un déchirement de plus. 

L'age limite pour ce qui m'intéresse, en l’occurrence le PVT, est généralement vers les 30 ans donc ca va, pour les pays européens il n'y en a pas du tout donc j'ai de la marge et effectivement il n'y a pas vraiment d'age pour se lancer. C'est plus facile à certains moments que d'autres on va plutot dire et on s'en sert comme excuse pour ne pas se lancer après.

De toute manière si ca se trouve ma vie sociale sera fortement réduite dans 1 an donc je pourrais me lancer sans crainte

je m'imagine   a votre place lors d'un voyage comme vous  et j'ai du mal à me voir rencontrer du monde même superficiellement  parce que parfois je sors seul et je parle  à personne

Je ne rencontre pas des gens si facilement dans Paris non plus, le voyage permet de le faire de manière beaucoup plus naturelle, les gens viennent naturellement te parler et si tu es réceptif, la conversation va plus loin

D'accord, je comprends mieux. Mais pourquoi être pessimiste au sujet de ta vie sociale dans un an ? Ce que je constate, c'est que tu as souvent été pessimiste à ce sujet sur le forum, mais que ça a bien tourné pour toi ^^ Ca doit être une vieille pensée qui revient  
Autrement effectivement, je pensais pas à ces âges limites là ... Moi c'est l'année dernière que je me suis rendu compte que j'étais trop vieux pour le service civique  J'étais alors tombé sur le Service Volontaire Européen (SVE) qui va jusqu'à 30 ans, et qui me semblait intéressant. Tu as peut-être déjà exploré cette piste

Je pense que les gens m'aiment beaucoup et que les femmes ont envie de coucher avec moi.

Nerevarine a écrit:

D'accord, je comprends mieux. Mais pourquoi être pessimiste au sujet de ta vie sociale dans un an ? Ce que je constate, c'est que tu as souvent été pessimiste à ce sujet sur le forum, mais que ça a bien tourné pour toi ^^ Ca doit être une vieille pensée qui revient  
Autrement effectivement, je pensais pas à ces âges limites là ... Moi c'est l'année dernière que je me suis rendu compte que j'étais trop vieux pour le service civique  J'étais alors tombé sur le Service Volontaire Européen (SVE) qui va jusqu'à 30 ans, et qui me semblait intéressant. Tu as peut-être déjà exploré cette piste

Tout est relatif je dirais, certaines relations ont perdurées et se sont approfondies mais j'en ai perdu beaucoup également, je rencontre de nouvelles têtes et j'en perds tout autant. C'est un peu frustrant de se dire qu'on passe telle ou telle fête avec des personnes différentes chaque année et qu'on ne verra plus l'année prochaine. 
Là en ce moment je vois encore beaucoup mes anciens collègues ( dont le contrat a fini fin janvier ) mais est ce que je pense que ça va survivre au temps? Non. Et pourtant le groupe est super, tout le monde s'entend super bien mais quelques mois ne suffisent pas à bâtir une relation de groupe sur le long terme, si je suis chanceuse je garderai peut être 2/3 contacts réguliers. 
En soit ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose, c'est même parfaitement normal mais je m'attache trop aux gens et je vois bien autour de moi que les amitiés durables se sont toutes formées sur plusieurs années ou les gens étaient "obligés" de se voir dans un contexte tel que les cours.  
J'ai des amitiés durables qui sont nées d'une colo de vacance mais c'est un cas particulier, je suis repartie avec elle en vacances il y a peu, c'était vraiment drôle après tout ce temps de "revivre" ensemble et de voir notre évolution. L'une d'elle m'a dit que j'étais la personne de son entourage qui avait le plus évolué en bien en quelques années, ca m'a fait trop plaisir  

Le SVE c'est un peu le même problème que le service civique à l'étranger pour moi, la majorité sont réservés à des gens diplômés...

Bon en vrai je suis quand meme super contente parce que je vois des gens que j'apprécie plusieurs fois par semaine. 

Ca va tu me rassures ^^ Cela dit, les relations perdues, c'est quelque chose qui m'a pourri (moins maintenant) assez longtemps, et ça nourrit toujours mes peurs.

Je parie que le fait que certaines missions de service civique soient réservées à des gens diplômés n'est pas justifié ... c'est dommage, ça pourrait être un tremplin pour les gens qui n'ont pas de diplôme. La mission que j'avais vue et qui m'intéressait, n'importe qui pouvait la faire à condition d'être un peu débrouillard. Et des BAC+5 pas du tout débrouillards, j'en ai croisé/aidé pas mal.

J'arrete pas de me dire qu'il ne faut pas que je m'attache trop à mes anciens collègues mais je les vois toutes les semaines en ce moment alors c'est difficile v.v

En fait pour les missions de service civique, de base elles sont toutes ouvertes sans requis de diplomes mais entre la théorie et la pratique y a un monde, tous les gens que je connais qui en ont fait sont diplomés

Jag a écrit:

J'arrete pas de me dire qu'il ne faut pas que je m'attache trop à mes anciens collègues mais je les vois toutes les semaines en ce moment alors c'est difficile v.v

En essayant d'être objective : à quoi te sert cette économie de sentiments ? 
Ca ne demande pas deux fois plus d'énergie de lutter contre une émotion, que de simplement l'accepter et la laisser filer quand ce sera le moment venu ? 

Tu disais dans un éclair de lucidité que tu avais compris que les gens allaient et venaient au cours d'une vie ; mais que ça restait beau et enrichissant. Cette réflexion n'est constructive que si tu n'a plus peur de gagner des relations et d'en perdre, non ?

Nan mais j'exagère, en vrai je me retiens pas vraiment mais je commence à penser au break d'été qui risque d'être fatal 

J'aime pas l'été car c'est souvent un moment de transition et de déprime, cette année ce sera différent vu que je serai en voyage à priori mais sinon c'est toujours une période morte quand je reste sur Paris 

"J'ai une technique infaillible pour séduire les femmes. Je m'assois au milieu du bar et j'attends." (Jean-Pierre, 65 ans, toujours puceau)

J'ai jamais eu autant d'envies, je fais un million de trucs et j'ai envie d'en faire un milliard de plus. C'est fou comme ça fait du bien de se sentir vivant. J'ai pas vraiment de projet d'avenir fiable par contre et l'engagement et la stabilité me terrifient toujours un peu dans le domaine pro. J'ai trouvé une certaine stabilité émotionnelle au niveau amical, malgré des déceptions qui sont inévitables, globalement je suis reconnaissante des rencontres que j'ai fait et des relations qui s'en sont suivies. 

Il serait vraiment temps pour moi de prendre un appart et être réellement indépendante, j'ai pu économisé pas mal déjà donc je pense que l'année prochaine sera vraiment la limite qui m'obligera à partir ( j'aurais le RSA qui me protège en cas de fin de droits ), même si c'est pour atterrir dans une chambre pourrie. J'arrive toujours pas à déterminer si une colloc me conviendrait parce que, mine de rien, avoir une cuisine et de l'espace pour les soirées c'est quand même pas négligeable.
Mais j'ai besoin de moments à moi, choix délicat. 
J'arrive toujours pas trop à me dire si je suis prête à quitter Paris pour une durée trop longue, j'aime vraiment trop ma vie sociale et culturelle ici. 
Je vis à un rythme un peu effrénée, je rattrape ces années perdues, du coup le temps s'écoule terriblement vite. 
Ça me fait bizarre de me dire que je suis capable de m'exprimer devant 25 personnes aujourd'hui, je continue d'évoluer en terme de compétences et de savoirs, j'apprends toujours mieux à connaitre ma ville et j'apprécie de plus en plus de pouvoir faire partager ces connaissances. 
Paris et moi c'est un peu une relation d'amour haine en fait, je déteste sa pollution, ses gens, ses loyers exorbitants, cette misère dans les rues mais à coté j'adore sa vie, ses lieux alternatifs qui se développent, ses événements, ses cinéphiles. 

Je pense beaucoup au volontariat international qui me permettrait de me poser longtemps quelque part avec un cadre et un but précis mais il faudrait que je trouve une mission en adéquation avec ce que je suis. Et j'ai vraiment peur de ressentir le manque de ma vie sociale.

Jag a écrit:

J'ai jamais eu autant d'envies, je fais un million de trucs et j'ai envie d'en faire un milliard de plus. C'est fou comme ça fait du bien de se sentir vivant. J'ai pas vraiment de projet d'avenir fiable par contre et l'engagement et la stabilité me terrifient toujours un peu dans le domaine pro. J'ai trouvé une certaine stabilité émotionnelle au niveau amical, malgré des déceptions qui sont inévitables, globalement je suis reconnaissante des rencontres que j'ai fait et des relations qui s'en sont suivies. 

Il serait vraiment temps pour moi de prendre un appart et être réellement indépendante, j'ai pu économisé pas mal déjà donc je pense que l'année prochaine sera vraiment la limite qui m'obligera à partir ( j'aurais le RSA qui me protège en cas de fin de droits ), même si c'est pour atterrir dans une chambre pourrie. J'arrive toujours pas à déterminer si une colloc me conviendrait parce que, mine de rien, avoir une cuisine et de l'espace pour les soirées c'est quand même pas négligeable.
Mais j'ai besoin de moments à moi, choix délicat. 
J'arrive toujours pas trop à me dire si je suis prête à quitter Paris pour une durée trop longue, j'aime vraiment trop ma vie sociale et culturelle ici. 
Je vis à un rythme un peu effrénée, je rattrape ces années perdues, du coup le temps s'écoule terriblement vite. 
Ça me fait bizarre de me dire que je suis capable de m'exprimer devant 25 personnes aujourd'hui, je continue d'évoluer en terme de compétences et de savoirs, j'apprends toujours mieux à connaitre ma ville et j'apprécie de plus en plus de pouvoir faire partager ces connaissances. 
Paris et moi c'est un peu une relation d'amour haine en fait, je déteste sa pollution, ses gens, ses loyers exorbitants, cette misère dans les rues mais à coté j'adore sa vie, ses lieux alternatifs qui se développent, ses événements, ses cinéphiles. 

Je pense beaucoup au volontariat international qui me permettrait de me poser longtemps quelque part avec un cadre et un but précis mais il faudrait que je trouve une mission en adéquation avec ce que je suis. Et j'ai vraiment peur de ressentir le manque de ma vie sociale.

Super!

Toujours la même problématique au final, rien ne me bloque véritablement pour partir et tenter ma chance ailleurs, il n'y a que ma peur de ne pas réussir à construire un réseau social qui me convient. 
Je n'aurais jamais pensé que quitter Paris serait si difficile.

Si cette peur n'existait pas, où voudrais-tu poser tes valises ?
Si tu choisis un endroit pas trop loin de Paris, les parisiens que tu connais pourraient venir te voir relativement souvent (et inversement). Ça change de voir les gens dans différents contextes ... mais tu les verras sous doute moins, c'est sûr.

Je pensais plutôt à des endroits lointains comme le Japon, la Nouvelle Zélande ou le Canada ^^ 

Ce serait pour 1 ou 2 ans, j'aurais beaucoup à apprendre en vivant dans une culture différente je pense, la difficulté réside vraiment dans le fait de se lancer et de se dire que je ne reviendrais pas en France avant longtemps 

Après pour la France, je ne suis pas contre l'idée non plus de tenter une vie dans des villes comme Lyon, Toulouse ou Strasbourg mais là c'est plus accessible et ce serait plus tard !

En septembre, je pensais justement peut-être faire un stage en Nouvelle-Zélande ou au Canada, j'avais refait faire mon passeport, mais j'ai eu trop de choses à gérer d'un coup et je me suis dégonflé  
Pourtant, comme tu dis, ça doit vraiment apporter de vivre dans une culture différente. Et pour plein de choses, mais rien que pour la langue c'est déjà pas mal ... quand je vois comme j'ai perdu en anglais -__- . Et ça doit aussi t'ouvrir plein de portes par la suite, surtout dans la voie pour laquelle tu as commencé à t'engager cette année.

Je suis amoureux et je célèbre mon 3800ème message pour le dire au Monde Entier !